A Ostende l'onde est un songe, la lumière une vague, l'écume une bière âcre.
Là-bas les mouettes se lamentent et les hommes ont l'âme lourde, ce qui est hautement réjouissant car à Ostende tout ce qui gémit est béni.
On vient à Ostende non pour y mourir mais pour voir mourir : dans cette ville en perpétuel automne la mélancolie est un spectacle intime. Les nuées y sont sombres, les âmes brumeuses, les flots lumineux.
A Ostende au casino face à la mer on joue, on perd, on pleure : on est heureux.
Dans cette capitale de la nostalgie l'amour est lunaire, la mort intermédiaire, la vie un interminable regret.
L'existence y est pâle, sereine, quasi funèbre. C'est la chose la plus délicieuse d'Ostende.
A Ostende il y a plein de vieilles en rouge à lèvres qui traînent leurs secrets d'amour glorieux et désuets : dans la ville flamande une tendre poussière recouvre les coeurs séniles.
Ostende est une ville égarée entre la mer et les étoiles, figée dans un siècle de naphtaline.
Là-bas les mouettes se lamentent et les hommes ont l'âme lourde, ce qui est hautement réjouissant car à Ostende tout ce qui gémit est béni.
On vient à Ostende non pour y mourir mais pour voir mourir : dans cette ville en perpétuel automne la mélancolie est un spectacle intime. Les nuées y sont sombres, les âmes brumeuses, les flots lumineux.
A Ostende au casino face à la mer on joue, on perd, on pleure : on est heureux.
Dans cette capitale de la nostalgie l'amour est lunaire, la mort intermédiaire, la vie un interminable regret.
L'existence y est pâle, sereine, quasi funèbre. C'est la chose la plus délicieuse d'Ostende.
A Ostende il y a plein de vieilles en rouge à lèvres qui traînent leurs secrets d'amour glorieux et désuets : dans la ville flamande une tendre poussière recouvre les coeurs séniles.
Ostende est une ville égarée entre la mer et les étoiles, figée dans un siècle de naphtaline.
Vous censurez Victor Hugo en même temps que nos commentaires maintenant ? Je me vois très honorée d'être mise sur le même pied d'égalité que Victor Hugo ! Enfin une reconnaissance de mes écrits vains !
RépondreSupprimerHuguette, votre commentaire ne présente aucun intérêt, allez zou, à la poubelle izarienne..
RépondreSupprimerLe bateau ivre
RépondreSupprimerComme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rhythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
RépondreSupprimerEt les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds.
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !
Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
RépondreSupprimerIlluminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces,
Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...
Huguette
RépondreSupprimerEn supprimant nos papos, sans les sommations d'usage, RafouNet fait preuve, que notre tolérance et notre pertinence -qui se trouvent à l'opposée des siennes- l'incommode majestueusement...
La bonne nouvelle ?
Son étroitesse d'esprit, suivie de ses actes vils, le garderont au frais dans son lieu d'origine et au sein de ses frères: le jardinet des nains...
J'implore la pitié pour le petit, Huguette. Il n'est pas de taille à affronter des vérités féroces et éclats de l'esprit...
J'ai simplement effacé les textes qui n'étaient en fait que des faux.
RépondreSupprimerDes faux, mais dans quel sens me demanderez-vous ? Des textes izarriens signés des noms de grandes plumes ou des textes d'auteurs illustres signés de mon nom ?
A vous de deviner...
J'affirme que dans mon blog tous les textes présents sont de moi. Sans exception.
Apprenez que IZARRA ne plagie pas, c'est IZARRA qui se fait plagier. Et je prends cela comme un honneur. D'ailleurs je me dresse contre la dictature du droit d'auteur (relire mes textes à ce sujet).
A part "ALFRED LE BÛCHERON" qui était effectivement de Dostoiovski, un vrai-faux ou un faux-vrai destiné à tromper les anti-IZARRA, les documents que j'ai présentés à mes détracteurs étaient des faux. Et je n'ai pas à le prouver. Juste à le suggérer.
Raphaël Zacharie de IZARRA
Nostalgie d'Ostende !!
RépondreSupprimerOui, Nostalgie d'Ostende , disais-je!!
RépondreSupprimerSylvain.ectac
"J'ai simplement effacé les textes qui n'étaient en fait que des faux. "
RépondreSupprimerLa vérité telle qu'elle vous arrange n'est pas vérité...
Vous avez effacé des échanges qui trouvaient leur source à partir du texte "Alfred le bûcheron" Que vous soyez accro de marques, que vous apportiez de l'intérêt à une signature, c'est votre droit. Néanmoins, le lectorat de ce blog ne vous a pas suivi dans cette oisiveté et je suppose que c'est cela qui vous a quelque peu contrarié cher rafou.
Vos lecteurs ont préféré, comme ils ont coutume, bifurquer sur des sujets -dans ce cas précis littéraires- plutôt que de stagner en votre compagnie et votre jeu niais et réchauffé de "qui à écrit quoi ?".
Ça, c'est la vérité dans son entièreté Rafoufou !!!
Trouvez des nains pour jouer au lancer. Apparemment sur ce blog, hormis vous, il n'y en a pas.
"Apprenez que IZARRA ne plagie pas, c'est IZARRA qui se fait plagier."
Mazette ! Izarra c'est la grande classe !!!
Si cela peut vous rassurer, je ne vous copie en rien. Encore que vous m'êtes utile ! J'use souvent, lorsque je lis vos textounets du: "ce qu'il ne faut surtout pas écrire..."
Puisque vous avez agi aussi mesquinement, je vous prive de dessert. Vous n'aurez pas mes commentaires concernant votre textounet "A Ostende"
Na !
J'aime faire parler de moi, qui l'ignore encore ?
RépondreSupprimerTOUT EST BON pour que l'on parle de moi. Je me sens exister à travers braiments et éloges.
Faire tourner en bourrique mes détracteurs, les faire enrager, bouillir, trépigner, cracher, bêler, jouer les indifférents, les chatouiller là où ça fait mal, les bastonner là où ça chatouille, telle est mon ivresse d'esthète.
Je suis un grand malade. Mais un aussi un grand esthète.
Raphaël Zacharie de IZARRA
Quelle spontanéité !
RépondreSupprimer"Faire tourner en bourrique mes détracteurs"
Ok Rafounet ! C'est un passe-temps comme un autre.
Mais lorsque l'on est ni votre détracteur, ni votre adorateur mais modestement une personne sensée, vous faites quoi ?
vous restez coi... ? Vous effacez les preuves qui vous identifient comme une erreur de la nature ?
Cela manque de hauteur tout ça !
"Je suis un grand malade."
Il ne sert à rien que vous-même le reconnaissiez...Pensez plutôt à vous reposer...
"Mais un aussi un grand esthète."
Esthète: Personne qui est sensible aux caractères du beau dans l'art et la nature.
J'ai un soudain accès de toux...et de rire...
Si vous étiez près de moi , je vous demanderai de me tapoter le dos avant que je ne m'étouffe...
Cunégonde de Dupond du Bernard de Durand, née Dupont avec un t
"Je suis un grand malade."
RépondreSupprimerIl ne sert à rien que vous-même le reconnaissiez...Pensez plutôt à vous reposer..."
Objection, dis Tonton ! Reconnaître qu'on est un grand malade permet d'entreprendre la démarche de se soigner, pour aller mieux, ou pour aller moins pire... Dans le cas de Rafou, je ne sais pas si ça va mieux ou moins pire depuis qu'il voit un psy, mais à mon avis heureusement qu'il en voit un, parce que sinon on ne viendrait même pas lire et commenter son blog, tellement il serait encore plus infréquentable que maintenant !! Quelqu'un qui n'est pas lucide sur sa maladie ne lui permet pas d'entreprendre un traitement, imaginez l'état de Rafou s'il n'en suivait pas un... on n'arriverait même pas à écrire une phrase qu'il nous gommerait direct sous prétexte qu'on fait des ratures sur sa belle page immaculée et qu'on salit son pur textounet. Là on a le temps d'écrire... pas toujours le temps de lire les commentaires qui suivent (s'il y en a, on sait pas vu qu'il a tout effacé).
C'est chiant Rafou. C'est comme si vous nous invitiez au vernissage de votre exposition. On regarderait, on admirerait, ou on critiquerait, mais on parlerait de vos oeuvres, on parlerait de vous, jusque-là tout va bien... mais on aborderait aussi d'autres sujets que vous, et on déconnerait on rigolerait, et ça ne vous plairait pas au bout d'un moment. Alors vous nous mettriez soudainement à la porte de l'expo. Nous pas rancuniers, on reviendrait lors d'une autre exposition de vos nouveaux textes, et vous nous mettriez encore à la porte. Au bout d'un moment, plus personne ne viendrait plus à vos expos et vos textes vous pourriez vous les encadrer où je pense... c'est à dire dans votre intimité à vous tout seul.
[Dans ces cas-là, autant faire un journal intime que vous fermerez à clé dans un coffre blindé. Dans le cas du blog, si vous ne voulez pas de commentaires sous vos textes, il en existe où on est obligé de s'inscrire et tout le bazar pour pouvoir commenter, ça en fait reculer des feignantes comme moi, de remplir des questionnaires avant d'accéder aux commentaires.] Et nous, pendant que vous vous morfondriez sur votre sort d'artiste naincompris de tous, on irait voir d'autres expos, car vous n'avez pas le monopole du textounet sur le Net.
Faut en parler à votre psy de cette manie de nous effacer en pleine discussion, c'est récurrent chez vous !
"Faut en parler à votre psy de cette manie de nous effacer en pleine discussion, c'est récurrent chez vous !"
RépondreSupprimerRafou se veut exterminateur d'esthètes. Pour moi, il n'est que le Tati du Net.
Dans la masse de textounets qu'il étale, peu -trop peu- méritent qu'on lui décerne le médaillon d'écrivain.
On nous impose tous un nom, donc une signature, dès notre entrée dans la vie. Certain se font titrer Hugotte, d'autres Beau de l'aire ou Beau Rhin d'autres encore Zachakiri. Certain se font pseudomiser La Source. Etc. Hélas ! Nom particulé ou pas, le talent n'est pas toujours livré avec le nom...
Les textounets de Rafounet (je ne m'arrête qu'à lui. Il aime tant ça le petit ! ) sont les échantillons de la vérité féroce que j'avance.
"Objection, dis Tonton ! Reconnaître qu'on est un grand malade permet d'entreprendre la démarche de se soigner, "
Si Rafou côtoie un psy, je ne suis pas certain que c'est pour aller mieux...
Il se complaît dans le personnage virtuel qu'il s'est créé. Rafou est un comédien de troisième, voire quatrième zone car il n'a appris à jouer qu'un rôle... Qui plus est, le plus facile. Quel paresseux... !
Alors heureux Rafou ? Je n'ai principalement parlé que de vous...
" c'est IZARRA qui se fait plagier."
RépondreSupprimerNe peut vous plagier que des nains de jardin. Des pas totalement illettrés. Des moins bien intellectualisés que vous.
Vous vous en glorifier ? C'est se contenter du peu...
"Puisque vous avez agi aussi mesquinement, je vous prive de dessert. Vous n'aurez pas mes commentaires concernant votre textounet "A Ostende"
RépondreSupprimerNa !"
Et voilà, Rafou, à cause de vous on est tous privés de dessert.
"Et voilà, Rafou, à cause de vous on est tous privés de dessert."
RépondreSupprimer"C'est toujours les gentils qui paient pour les méchants"
Jeu du jour:
Chercher qui sont les gentils sur ce blog et qui est le méchant...?
Les subtiles tortures aux doubles discours.
RépondreSupprimerIls font mine de vouloir pour votre bien, vous interdire de boire, de picoler de fumer de manger gras et sucré de manger des plats cuisinés, saturés et industrialisés.
Alors pourquoi vous réparent et proposent- ils ces liquéfiants mets ?
Osons révéler ici une partie de la réponse:
Toute cette bave faisant bonne figure, d'apparence bienveillante, voudrait-elle pour autant votre bien être ?
Oh Non ! : leur seul souhait est que vous vous torturiez comme des tantales, que vous vous sentiez coupables tout en salivant à la vision de la grande bouffe qu'ils vous proposent.
D'une part ils vous invitent à la débauche et aux geusailles en faisant vivement promotion des produits de la bonne chair.
En vous accoutumant dés le plus jeune âge à la normalité d'absorption de ces produits.
D'autre part ils vous blâment pour vos conduites, de vos ivresse et autres malheureuses péripéties.
Eprouver des tentations gustatives envers ces infâmes produits, cela semble bien logique puisqu' ils sont déguisés de robes et de parures alléchantes les faisant paraître autant plus merveilleux les uns que les autres, alors que sur le fond ils sont abjectes, agressifs, vils, destructeurs mais surtout perfides.
D'autant plus qu'ils nous sont familiers et nous laissent en général d'agréables souvenirs de par leurs trompeuses flaveurs.
Un pot de "nutella" ou une bouteille de "coca-cola" ne seraient pas ce qu'ils sont sans toutes ces substances plus douteuses les unes que les autres, donnant saveur tout provocant accoutumance et destruction des esprits !
Les infâmes chefs cuisiniers nazis reconvertis dans la fonction de apprentis chimistes ainsi vêtus de blouses blanches, vous concoctent malicieusement diverses substances qui raviront vos papilles pendant qu'elles démembreront vos esprits et vos corps.
Les publicitaires dans tout ça vous agitent sous les yeux et les oreilles ces produits dégueulasses les rendant plus alléchants les uns que les autres par divers stratagèmes tel que la petite mélopée sirupeuse ou le pitoyable slogan à persistance mentale.
Alors que certains salivent devant ces pisses infectes et ces bouses compactés, moi je le cris haut et fort je les vomis corps et âme !
Je n'éprouve donc de ce fait aucune envie et culpabilité !
Ainsi pour ma part vous me dirait l'affaire est définitivement résolue
Oui !
Mais ce qui m'angoisse maintenant c'est le reste du monde, oui je n'ai pas peur de dire mon pire cauchemar: je redoute de voir un jour se transformés les masses en d'horribles hordes de zombies enragés à la manière d'opulentes vaches folles.
Un petits texte avec plein d'évidences comme je les aimes
wouah eh l'autre é !
Bon Raphael,
Quand est-ce-qu'allez vous revêtez le déguisement de marmaille dans une petite vidéo ?
Esprits de j'aime pas les yaourts "qui vous font du bien à l'intérieur !"
Esprit, le Retour ! je croyais que vous étiez parti pour de bon de ce blog ? Faites attention, Internet, les blogs, c'est comme la pub, ça rend accro, et je vous sens un peu dépendant sur les bords...
RépondreSupprimerVous allez me rendre anorexique à force, Esprit des yaourts, avec vos pamphlets sur la pub et la mauvaise bouffe. Je ne vais bientôt plus me nourrir que d'amour et d'eau fraîche. Et encore, difficile de trouver un véritable amour 100 % naturel, sans parler de l'eau ferrugineuse et tout ça... nous sommes pollués jusqu'à la moëlle, Esprit. Alors à quoi bon s'inquiéter, l'anxiété ça crée aussi des désordres, ça ne fait pas du bien à l'intérieur.
Un article qui corroborera vos dires sur tout ce qu'on nous fait avaler ! c'est au sujet de cette nouvelle cuisine nommée "cuisine moléculaire". A ce stade, ce n'est plus de la cuisine c'est de la chimie. Voilà ce qui arrive quand on joue au petit apprenti-chimiste avec les aliments. Celui-là il va être obligé de manger des plats tout préparés, parce qu'il n'a plus de mains pour éplucher les légumes.
lundi 13 jui, 17 h 04
BERLIN (AFP) - Un Allemand de 24 ans a perdu les deux mains dans l'explosion qu'il a provoquée en s'essayant à la cuisine moléculaire avec de l'azote liquide, dans les environs de Berlin, rapporte lundi un journal local.
Lorsque les secours sont arrivés, la victime a prétendu avoir eu un accident avec du gaz, mais sa petite amie, agée de 16 ans, a expliqué qu'il était en fait en train de vider une bouteille d'azote liquide, explique le Berliner Morgenpost.
La police criminelle, arrivée dans l'appartement de la mère de la petite amie peu après l'explosion, vers minuit, a retrouvé "les restes d'une bouteille d'azote, des restes de vêtements, de chair et de peau", précise le journal.
Le jeune homme a été conduit à l'hôpital, où il a été placé sous respiration artificielle et amputé des deux mains.
La cuisine moléculaire est une technique d'avant-garde, dont le chef de file est le célèbre cuisinier espagnol Ferran Adria, et qui utilise les sciences physiques et chimiques pour les appliquer aux aliments.
L'azote, qui se liquéfie à une température d'environ -200° celcius, est notamment utilisé pour des préparations glacées.
Tiens, Priest, puisque vous êtes là, vous ne voudriez pas faire le commentaire de texte sur la balade à Ostende de Rafou ? La Vengeance d'une Burne ne veut pas la faire comme il en a l'habitude, il nous fait son caprice des vieux. Je sens qu'on va se faire effacer les commentaires si quelqu'un ne se dévoue pas illico presto à parler du textounet à l'affiche actuellement.
RépondreSupprimerSuccinctement je trouve que c'est un joli texte, j'aime la nostalgie, la mélancolie des stations balnéaires du XIXème siècle, ses vestiges de la Belle Epoque, ce que vous appelez "siècle de naphtaline" je suppose ?
"Ne peut vous plagier que des nains de jardin. Des pas totalement illettrés. Des moins bien intellectualisés que vous.
RépondreSupprimerVous vous en glorifier ? C'est se contenter du peu..."
[Ne peuvent vous plagier que des nains de jardin.
Vous vous en glorifiez ?]
A l'Attack, je vois que vous n'êtes pas totalement illettré puisque vous n'avez pas fait de fautes aux autres mots. Aussi vous êtes promu d'office au grade de Nain de Jardin. Cette distinction vous autorise à copier/coller des textes de Raphaël Zacharie de Izarra ou de Victor Hugo et à y apposer votre propre signature.
"Jeu du jour:
RépondreSupprimerChercher qui sont les gentils sur ce blog et qui est le méchant...?"
Les gentils : Victor et Hugo
Le méchant : Rimbaud
C'est ça ?
Jeu du lendemain du jour :
Plusieurs nains de jardin sont cachés dans cette page. Amusez-vous à les retrouver et à les colorier.
"La Vengeance d'une Burne ne veut pas la faire comme il en a l'habitude, il nous fait son caprice des vieux."
RépondreSupprimerRire !
Ce n'est pas une burne que je met en branle mais le bras de la justice divine...
C'est à Rafounet qu'il faut en vouloir. Cet éjaculateur précoce a évacué les com's en négligeant les préliminaires d'usage.
Si de nos jours, on se laisse envahir par les évacuateurs précaires, que vont devenir nos vitals interventions, je vous le demande ?
Je pense que pour son bien, il doit payer pour sa très grande fôte. Son nanisme action boursière...
A Capri, caprice et demi
"Aussi vous êtes promu d'office au grade de Nain de Jardin. "
RépondreSupprimerChic alors ! Vous n'avez pas oublié la majuscule à "Nain" On est la plus grande ou on ne l'est pas !
"Un pot de "nutella" provocant destruction des esprits !"
RépondreSupprimerFaut peut-être pas pousser tout de même !!!
Je mange du Nutella, entre autres ambroisies, chaque jour que Dieu fait.
En revanche, je me réveille au coca, les lendemains de nectar...
Je suis pour la destruction de la planète.
S'il ne doit en rester qu'une, je serai celui-là...
"Mais ce qui m'angoisse maintenant c'est le reste du monde,"
RépondreSupprimerah bon !
Qu'est-ce que l'angoisse, à quoi sert-elle ? que génère-t-elle ? Qui est le reste du monde ?
"Ego quand tu nous tiens, surtout ne nous lâche pas... "
jeux de mains jeux de vilains,
RépondreSupprimer"Il ne pourra plus manger de légumes éplucher par ses soins !"
Voilà le genre d'exquises réponses que j'attend de votre part !
J'essaye de multiplier les occasions, mais cela est difficile.
Je suis revenu mais je repart aussitôt ne soyez pas trop virulent en on absence soyez sages comme de belle pages blanches.
Pour une fois vous n'avez pas critiquer toutes ses négligences au niveau de l'orthographe, vous êtes bien aimables.
Je m'en vais parler ci dessous du texte de Raphael
L'Ostende comme vous le décrivez est un charmant endroit pour le suicide, un lieu avec tout ce qu'il faut de violons et de quatuors à cordes : représentés par la mélancolique de la musique que produit le vent automnale sur feuilles, tympans, et tronc d'arbres, cette musique troublante presque dérangeante fait ressortir toute l'émotion de la scène.
RépondreSupprimerOstende est un haut lieu cinématographique, une oraison funèbre visuelle et sonore, une larme de pour l'âme torturé, par toutes ses vertus Ostende peut ainsi vous amener au suicide, à la dépression, vous faire pleurer; tout comme à la révélation, la guérison, vous faire retrouver la joie.
Le bon maître me le pardonne
bon maintenant laissons parlez le poète:
....................
Au revoir tout le monde soyez gentils par ce que il faut pas être méchant !
RépondreSupprimer"Les gentils : Victor et Hugo
RépondreSupprimerLe méchant : Rimbaud
C'est ça ?"
Cette question ne pouvait avoir que des réponses justes...
"Chic alors ! Vous n'avez pas oublié la majuscule à "Nain" On est la plus grande ou on ne l'est pas !"
RépondreSupprimerLa Majuscule à "Nain", c'est comme la Particule à "Izarra" : un accessoire pour que le nain se sente plus grand.
De même que la majuscule grandit, la minuscule rapetisse. Voyez la différence de taille entre un "GEANT" majuscule et un "géant" minuscule : y a pas photo.
RépondreSupprimer"Je suis revenu mais je repart aussitôt ne soyez pas trop virulent en on absence soyez sages comme de belle pages blanches."
RépondreSupprimerLes belles pages vierges ne sont pas si sages, elles ne rêvent que d'être déflorées par des plumes expérimentées.
20 juil. 2009 06:59:00
"Les belles pages vierges ne sont pas si sages, elles ne rêvent que d'être déflorées par des plumes expérimentées."
RépondreSupprimerTout ce que l'être touche, il souille...
La souillure est l'avenir de l'être. Il l'a nomme "évolution"
M'avait amusé, dans l'entendement premier, puis dans son usage commun, la puérilité de ce slogan publicitaire: "la femme est l'avenir de l'homme"
La version de Renaud est amusante aussi: "La femme est l'avenir des cons"
Dans la version d'Aragon, les homosexuels peuvent se retrouver. Ce poète était un visionnaire...
A l'heure des bébés éprouvettes, des familles recomposées, du PACS, la pensée d'Aragon prend la signification que chacun veut bien lui donner. En teneur arrangeante, cela va de soi !
Rien n'est blanc ou noir. Tout est gris à commencer par l'âme. Quant à la feuille blanche, elle suit le mouvement: sa virginité n'est qu'éphémère. En revanche, je ne suis pas persuadé que c'est elle qui demande à être déflorée...
"Voyez la différence de taille entre un "GEANT" majuscule et un "géant" minuscule :"
RépondreSupprimerC'est HENAURME !
"En revanche, je ne suis pas persuadé que c'est elle qui demande à être déflorée..."
RépondreSupprimerS'il n'y a pas consentement et si c'est contre sa volonté, il s'agit alors d'un viol -avec circonstances aggravées dans le cas du viol des pages blanches de Rafou, puisqu'il s'agit de viols répétés en réunion. C'est un crime et il est puni par Rafou de la peine de mort de nos commentaires.
Mais vous êtes sûr que cette page ne l'a pas cherché, à se balader ainsi toute nue ? c'est de la provocation !
"la femme est l'avenir de l'homme (...) Dans la version d'Aragon, les homosexuels peuvent se retrouver. Ce poète était un visionnaire..."
RépondreSupprimerLes homosexuels n'ont pas l'avenir devant eux, ils l'ont dans le dos.
"Quant à la feuille blanche, elle suit le mouvement: sa virginité n'est qu'éphémère. En revanche, je ne suis pas persuadé que c'est elle qui demande à être déflorée..."
RépondreSupprimerL'avenir de la feuille blanche est quand même plus enviable que l'avenir de la feuille de papier toilette, qui risque d'être dans la merde toute sa vie et de finir au bout du rouleau. La feuille blanche est une nantie, elle a droit à l'écriture et a accès à la culture et peut espérer finir ses jours dans une librairie ou une bibliothèque plutôt que dans une fosse septique.
"On choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille
On choisit pas non plus les trottoirs de Manille
De Paris ou d'Alger
Pour apprendre à marcher
Etre né quelque part
Etre né quelque part
Pour celui qui est né
C'est toujours un hasard"
(Maxime Le Forestier)
M.L.F. vaincra !
RépondreSupprimer"la femme est l'avenir de l'homme"
RépondreSupprimerMais oui. Une femme économise le salaire d'une femme de ménage, d'une cuisinière et d'une prostituée. Avec l'argent économisé, l'homme peut investir en bourse et faire fructifier ses économies. A condition qu'il sache bien gérer sa femme-capital et que l'argent économisé ne soit pas gaspillé par celle-ci en conneries du style fringues, chaussures, bijoux, maquillage, coiffeur, etc... (ben oui, quand l'homme part investir en bourses ailleurs, il faut bien qu'elle compense sa frustration).
Oui la femme est l'avenir de l'Homme et l'homme est l'avenir de la Femme !
RépondreSupprimerLes gamètes mâles sont l'avenir des gamètes et femelles et vice et versa
Autrement chacun ne peut avoir d'avenir sans l'autre.
Et au final ça donne un beau bordel une belle horreur, l'humanité: cruelle, féroce, inepte, méchante, guerrière, vaniteuse, bête, affreuse, sale et méchante avec des parcelles de lumière de nombreuses merveilles de beauté, d'intelligence, de bonheur !
Mais ne vous inquiétez pas certains veulent stériliser l'humanité donc c'est bien gentil ils pensent à nous, mais voilà faut les laisser faire en buvant des bières et en jouant aux jeux de guerre.
Vive la vie, vive la mort !
C'est la fête des porcs !
"une larme de pour l'âme torturé,"
RépondreSupprimerMerci pour le commentaire Esprit. Mais il manque un mot. Une larme de quoi ? de crocodile ?
[ne revenez pas exprès, ça peut attendre votre retour]
mais voilà faut les laisser faire en buvant des bières et en jouant aux jeux de guerre."
RépondreSupprimerEt en buvant du Coca-Cola ! et en mangeant du Nutella ! quelle horreur !
rimbaud c'est n'importe quoi !
RépondreSupprimerc'est que de la forme sans fond ça sert à rien faut le brûler !
Non je déconne quand même pas mais faut arrêter de le prendre pour un génie, se faire avoir en tout cas moi je n'aime pas Rimbaud !
Je préfère les vers de laine !
"rimbaud c'est n'importe quoi !"
RépondreSupprimerSi vous le dites, certainement détenez-vous la vérité...Vous n'avez jamais pensé à contacter l'académie française pour lui exposer vos arguments? Ces gens-là ont besoin de rire aussi...
Ou peut-être subissez-vous de néfastes influences...?
"c'est que de la forme sans fond ça sert à rien faut le brûler !"
Élémentaire. Les personnes n'aiment pas, éreintent ce qu'elles ne comprennent pas. C'est d'un commun comme réaction !
Critiquer Rimbaud est dans l'air du temps. C'est bien de se montrer tendance. D'être à la mode coûte que coûte...
C'est aussi être équilibré que de se montrer détracteur ou adorateur d'une personne ou d'une oeuvre.
"Non je déconne quand même pas mais faut arrêter de le prendre pour un génie," se faire avoir en tout cas
Là OK. Rimbaud n'a rien d'un génie. Il n'était qu'un enfant précoce.
"moi je n'aime pas Rimbaud !"
Libre à vous d'apprécier le grand et bel art ou pas.
Perso, je me serai contenté d'être la moitié d'un Rimbaud question écriture...
Je clos là ce sujet. J'ai déjà été trop long...
"Les chiens aboient, la caravane passe"
Au plus sage ou plus sot: Judas...
RépondreSupprimerJe ne trouve rien à dire, tout à rire.
Le rire est l'avenir de la femme. La raison ?
Ne dit-on pas: "Femme qui rit, femme qui jouit." Qui plus est quant elle rit, elle cause pas...
C'est tout bénef !
hihihi sans le han
"Le rire est l'avenir de la femme. La raison ?
RépondreSupprimerNe dit-on pas: "Femme qui rit, femme qui jouit." Qui plus est quant elle rit, elle cause pas...
C'est tout bénef !"
Ah bon ? c'est qui le petit marrant qui a dit ça ?? Parce que femme qui rit, si elle tombe sur un rigolo impuissant ou éjaculateur précoce, elle ne va pas rire longtemps !!! elle va faire la gueule au bout d'un moment, et vous risquez même de l'entendre causer assez fort, genre "LE VIAGRA C'EST PAS FAIT POUR LES CHIENS ET LES PRELIMINAIRES NON PLUS". Je dirais donc plutôt : "Femme qui jouit, femme qui rit".
Accentuons les déhanchements lexicaux
RépondreSupprimer"Femme qui rit le jour, jouit la nuit."
Qu'on pourrait traduire par le télévisuellement correct: "bien dans sa tête, bien dans son corps"
Une femme qui se moquerait d'un éjaculateur précoce ou d'un rigolo impuissant n'aurait rien compris au film... culinaire...
C'est donc pour ce foie gras d'oie blanche ou cette dinde mal ou peu farcie qu'il faut réserver sa compassion.
"Accentuons les déhanchements lexicaux
RépondreSupprimer"Femme qui rit le jour, jouit la nuit."
Je continue de dire dans l'autre sens : que Femme qui jouit la nuit a plus de chances de rire le jour que femme qui rit le jour ne jouit pas forcément la nuit si elle n'a pas le partenaire adéquat.
C'est du vécu : mon amant n'est pas un mec marrant, c'est quelqu'un de sobre dans ses expressions, qui ne communique pas tellement par la parole ni n'exprime ses émotions. Il s'exprime plutôt dans le silence, par les regards et les gestes. Et pourtant depuis que je suis avec lui je ris encore plus le jour depuis qu'il me fait jouir la nuit. Et je ris la nuit aussi. Même que je le fais rire... La Femme est l'avenir du Rire de l'Homme, l'Homme est l'avenir du Jouir de la Femme. Pour mon propre cas s'entend.
Du coq à l'âne...
RépondreSupprimer"mon amant n'est pas un mec marrant,"
Il n'est pas nécessaire de s'être acoquiner avec un mec marrant. Le saint Graal ne se trouve pas dans les oreilles d'un âne. Sinon, ça se saurait et on vivrait la pénurie: la crise de cons...
"c'est quelqu'un de sobre dans ses expressions, qui ne communique pas tellement par la parole ni n'exprime ses émotions."
Le triste autiste !!!
"Et pourtant depuis que je suis avec lui je ris encore plus le jour depuis qu'il me fait jouir la nuit."
Vous avez pensé à consulter un psy chologue ou chiatre ? Ces gens-là peuvent s'avérer utiles en cas d'embouteillages cérébrautissimes.
"La Femme est l'avenir du Rire de l'Homme, l'Homme est l'avenir du Jouir de la Femme"
Et réciproquement...
La femme "libérée" (ce terme m'amusera toujours et de plus en plus...) réclame le beurre et l'argent du beurre: finance, sexe libre, pouvoir. Ce serait une ambition relativement accessible si ladite dame déterrait sa pertinence qu'elle tient enfouit au plus profond d'elle-même...
Elle ne déterre, pour accéder à son dessein , que sa sottise et son ego égoïsme incommensurable.
Réclamer l'égalité des sexes, c'est manquer d'ambition... Se réclamer supérieure au sexe dit fort, c'est faire fi des différences originelles.
La complémentarité entre mâles et femelles ne devrait jamais être à démontrer. Ceux à qui il ne manque que la parole respectent cette loi initiale. Ça laisse pensif non ?
"si elle n'a pas le partenaire adéquat."
RépondreSupprimerPour être un partenaire adéquat il faut être en relation avec une partenaire adéquate...
Pour exemple:
Lorsqu'on se rend chez Donald, ou son acolyte Quikquik, il serait inconvenant, indécent, irrévérencieux, corrompu, dépravé (j'en passe ) que l'un des partenaire opte pour les frites et l'autre pour le délicieux hamburger...
Tous partages se doivent d'être équitables sinon: un seul être vous manque et tout est repeuplé...
Délicieux hamburger vous voulez rire
RépondreSupprimerImmonde oui c'est comme le merde parfumé qui aurait de goût de chocolat mais une fois ingurgité ferait milles ravages dans l'organisme bandes d'eunuques !
Femmes à couilles !
scélérats !
Izarra,
RépondreSupprimerQuel est le chemin le plus court vers Ostende ?
Vite que je me suicide pour quitter ce monde monde pitoyable je reviendrais plus tard pendant l'âge d'or !
à la fin de l'âge de fer !
Il fait froid ici !
Ce monde est puéril et infantilisé je déteste les gagas humains et les débiles écervelés les estomac sur pattes bouhhh quelle horreur ça me fait peur !
Je vais effacer ces commentaires assimilables à de la pollution.
RépondreSupprimerNon que je me prenne moi-même trop au sérieux à travers mes texto-raphounets, mais c'est juste par respect pour mon lectorat.
On peut s'amuser entre amis, je ne suis pas contre. Mais pas en ennuyant les autres, pas à ce prix. Moi-même je n'ai pas lu tous les messages, c'est dire le peu d'intérêt qu'ils représentent...
Raphaël Zacharie de IZARRA
"La femme libéré c'est pour qu'elle soit tout autant esclave que l'homme autrement dit la femme a le droit d'être égale à l'homme ainsi tout deux peuvent être esclave et catins du système à égalité des droits et dévotion dans la servitude miam oh oui oh oui comme le système avec son grand phallus de fer vous fait jouir très vous le mettant bien profond les sodomites !"
RépondreSupprimerPourriez-vous me traduire cet extrait en français je vous prie ? Je n'ai compris que la fin: " oh oui oh oui avec son grand phallus de fer..."
Rafou,
RépondreSupprimerJe ne vous savais pas si étroit d'esprit. Vous supprimez les commentaires qui vous dérangent dans leur fond et sur leur forme, néanmoins vous ne réagissez jamais lorsque les commentaires mal écrits et bourrés de fautes les plus élémentaires polluent cet espace de liberté...
Etrange ! J'ai la nette impression qu'il y a anguille sous-roche...
Je n'ose pas croire que vous vous abaisseriez à imiter l'écriture de Tinègre pour effacer les commentaires...
Si c'est le cas, ce n'est pas ce que l'on appelle: respecter sa lectrice...
"Pour ceux qui le peuvent, merci de soigner le style, de respecter l'orthographe, la grammaire et la ponctuation."
Raphaël Zacharie de Izarra
TROP DE COMMENTAIRES FUTILES TUENT LES COMMENTAIRES.
RépondreSupprimerC'est très simple à comprendre.
Moi-même je ne lis plus la plupart des commentaires qui me sont adressés. J'ai peut-être effacé des choses que vous jugez dignes d'intérêt sans le vouloir mais je suis trop paresseux pour faire le tri, voilà tout.
Et puis surtout, quelle importance ces minuscules choses ?
L'essentiel, c'est la littérature izarrienne.
Moi-même je ne me prends pas trop au sérieux. Le comble : que les commentateurs se prennent encore plus au sérieux que moi.
Raphaël Zacharie de IZARRA
"Moi-même je ne me prends pas trop au sérieux. Le comble : que les commentateurs se prennent encore plus au sérieux que moi."
RépondreSupprimerJe ne puis que rire en lisant votre argumentation. Votre notion de la vérité n'appartient qu'à vous...
"Moi-même je ne lis plus la plupart des commentaires qui me sont adressés."
Rares, très rares sont les fois ou je m'adresse à vous. Je me contente, la plupart du temps, de vous évoquer dans le but unique que vous ne supprimiez pas les commentaires...
"J'ai peut-être effacé des choses que vous jugez dignes d'intérêt"
M'enfin Rafounet ! Tout ce qui s'écrit sur votre journal de bord est estimable... Quant à savoir si vos textounets ont la primeur sur nos textounettes, certainement que oui... pour vous...
"je suis trop paresseux pour faire le tri, voilà tout."
Mais non Rafounet ! Cessez de vous mésestimer. Ce costard vous sied mal ! Vous n'êtes jamais paresseux lorsqu'il s'agit d'effacer des textoufous qui vous dérangent.
Vous ôtez les textounettes de VOTRE blog avec une dextérité de Conchita...
"L'essentiel, c'est la littérature izarrienne."
Au temps pour moi. Je l'ignorais.
Pourriez-vous m'expliquer ce que vous nommez la littérature izarienne ? J'ignore toujours ce que c'est à ce jour...C'est nouveau ? c'est neuf ? c'est lavé avec Woolite ?
Pour clore:
Je suis un de vos lecteur. Aussi, je juge avoir mon mot à dire puisque vous dites les respectez. Je vous cite: "mais c'est juste par respect pour mon lectorat."
Sachez qu'aucun des commentaires que je lis sur ce blog ne me dérange. Au contraire ! j'ai toujours grand plaisir à les lire.
Sans doute, sommes-nous plusieurs à réagir de la sorte. Il serait intéressant de le savoir...
Bonne soirée Rafounet
Avez vous la recette de la tarte aux pommes de dieu ?
RépondreSupprimerMerci pour ce blog de recette de cuisine on y trouve les meilleures recettes de cuisine du mans !
RépondreSupprimerVive la cuisine bizarrienne !
RépondreSupprimer"c'est quelqu'un de sobre dans ses expressions, qui ne communique pas tellement par la parole ni n'exprime ses émotions."
RépondreSupprimerLe triste autiste !!!"
Au moins il ne parle pas pour ne rien dire, quand il parle c'est pour dire un truc qui vaut le coup d'être dit. Un peu comme Rafounet qui dit qu'il n'écrit pas des bouquins parce qu'il va à l'essentiel, le reste n'est que bavardages sans intérêt ; le textounet c'est le concentré de livre, l'essence pure non diluée (c'est ce que j'ai compris de la tactique izarrazienne, en gros).
"Vous avez pensé à consulter un psy chologue ou chiatre ? Ces gens-là peuvent s'avérer utiles en cas d'embouteillages cérébrautissimes."
RépondreSupprimerNon je n'y ai pas pensé, à cause des embouteillages, ça bloque la circulation...
Avez vous la recette du riz japonais ?
RépondreSupprimerEn échange je vous donne une recette fameuse:
Mijotée de fèves:
Préparation : 15 min
Cuisson : 1 h
Ingrédients (pour 6 personnes) :
- 3 oignons
- 3 tomates
- 1 petite laitue
- 600 g de fèves fraîches écossées
- 180 g de champignons
- 3 branches de sarriette ou de thym
- 3 cuillères à soupe d'huile d'olive
- sel, poivre
Préparation :
Ebouillanter les tomates et les passer sous un filet d'eau froide pour pouvoir les peler facilement.
Détailler les oignons en fines rondelles, les champignons en tranches et les tomates en morceaux grossiers.
Faire chauffer l'huile dans une cocotte, ajouter les fèves et la sarriette. Laisser chauffer quelques minutes avant d'incorporer le reste des ingrédients.
Laisser cuire environ 1 heure sur feu doux et servir chaud, tiède ou froid.
"Avez vous la recette de la tarte aux pommes de dieu ?"
RépondreSupprimerNON ! en revanche, je vous propose celle de la dinde au Whisky. Elle nous vient du célébrissime Polo Beau Cuze
étape 1 : Acheter une dinde d'environ 5 kg pour 6 personnes et une bouteille de whisky, du sel, du poivre, de l'huile d'olive, des bardes de lard.
étape 2 : la barder de lard, la ficeler, la saler, la poivrer et ajouter un filet d'huile d'olive.
étape 3 : Faire prechauffer le four thermostat 7 pendant dix minutes.
étape 4 : Se verser un verre de whisky pendant ce temps-là.
étape 5 : Mettre la dinde au four dans un plat à cuisson.
étape 6 : Se verser ensuite 2 verres de whisky et les boire.
étape 7 : Mettre le therpostat à 8 après 20 binutes pour la saisir.
étape 8 : Se bercer 3 berres de whisky.
étape 9 : Après une debi beurre, fourrer l'ouvrir et surveiller la buisson de la pinde.
étape 10 : Brendre la vouteille de biscuit et s'enfiler une bonne rasade derrière la bravate - non - la cravate.
étape 11 : Après une demi-heure de blus, tituber jusqu'au bour. Oubrir la putain de borde du bour et reburner - non - revourner - non - recourner non - enfin, mettre la guinde dans l'autre sens.
étape 12 : Se pruler la main avec la putain de borte du bour en la refermant - bordel de merde.
étape 13 : Essayer de s'asseoir sur une putain de chaise et se reverdir 5 ou 6 whisky de verres ou le gontraire, je sais blus.
étape 14 : Buire - non - luire - non - cuire - non - ah ben si - cuire la bringue bandant 4 heures.
étape 15 : Et hop, 5 beurres de plus. ça fait du bien par ou que ça passe.
étape 15 : R'tirer le four de la dinde.
étape 16 : Se rebercer une bonne goulee de whisky.
étape 17 : Essayer de sortir le bour de la saloperie de pinde de nouveau parce que ça a raté la bremière fois.
étape 18 : Rabasser la dinde qui est tombée bar terre. L'ettuyer avec une saleté de chiffon et la foutre sur un blat, ou sur un clat, ou sur une assiette. Enfin, on s'en fout...
étape 19 : Se péter la gueule à cause du gras sur le barrelage, ou le carrelage, de la buisine et essayer de se relever.
étape 20 : Décider que l'on est aussi bien par terre et binir la mouteille de rhisky.
étape 21 : Ramper jusqu'au lit, dorbir toute la nuit.
étape 22 : Manger la dinde froide avec une bonne mayonnaise le lendemain matin, et nettoyer le bordel que tu as mis dans la cuisine la veille, pendant le reste de la journée.
Si vous habitez Ostende, je pense que cette recette sera doublement apprécié.
Bonne dinde, hic.
"Avez vous la recette du riz japonais ?
RépondreSupprimerOUI. Je l'échange contre la recette "le Colombo de capri" (recette antillaise)
J'ai eu l'occasion de la déguster chez des amis. C'était délicieux ! J'ai perdu mes amis de vue.Ils sont décédés dans un accident d'avion. Je les avais prévenu pourtant que la circulation aérienne était autant dangereuse que la circulation terrestre. Ils laissent deux enfants derrière eux. La concierge de leur immeuble m'a informé que c'est une tante éloignée qui devrait s'en charger. Mais bon ! vous connaissez la paprasserie administrative. Il faut attendre pour savoir si oui ou non le transfert peut se faire. Surtout que cette tante a un mari handicapé: il est écrivain d'oisiveté. Il écrit des romans d'amour qui ont, d'après la concierge du mari de mon amie(on passait toute nos vacances ensemble durant notre jeunesse. Qu'est-ce qu'on a voyagé toutes les deux. Il faudra que je vous raconte )beaucoup de succès.
Mais je m'égare...
Bref ! je connais pas la recette "le Colombo de capri"
Riz japonais.Pour 8 personnes :"
Ingrédients pour 700 g de riz vinaigré :
300 g de riz rond japonais
30 cl d' eau
4 cuillères à soupe de vinaigre de riz
2 cuillères à soupe de sucre
1/2 cuillère à soupe de sel
(Tous ces produits sont en vente dans les épiceries japonaises)
Préparation
1 Lavez le riz à l'eau froide dans une passoire, en remuant bien, jusqu'à ce que l'eau qui s'en écoule soit bien claire. Laissez-le égoutter dans la passoire pendant 30 minutes.
2 Placez le riz et les 30 cl d'eau dans une casserole et posez un couvercle dessus de façon à ce que l'ensemble soit totalement hermétique. Portez à ébullition sur feu moyen en vous fiant à vos oreilles sans jamais soulever le couvercle de la casserole. Continuez alors la cuisson pendant 5 minutes.
3 Baissez le feu au minimum et laissez cuire pendant 10 minutes environ. Soulevez le couvercle et laissez reposer le riz pendant 10 minutes.
4 Dans une casserole, faites chauffer le vinaigre, le sel et le sucre sans porter à ébullition. Laissez refroidir une fois le sucre totalement dissout.
5 Déposez le riz dans un hangiri ou un saladier pour le refroidir à l'aide d'un éventail ou d'une feuille de papier. Versez la préparation vinaigrée sur le riz en plusieurs fois, en mélangeant délicatement pour ne pas écraser les grains.
Pour finir... Une fois la préparation vinaigrée incorporée, conservez le riz dans un saladier recouvert d'un torchon humide jusqu'au moment de préparer les makis sushis et les nigiris sushis.
voila la recette du colombo cabri
RépondreSupprimerIngrédients Colombo De Cabri (créole) :
1 kg d'épaule de cabri (ou d'agneau ou de chevreau) désossée,
6 Citrons
1 botte d'oignons nouveaux,
3 Gousses D'ail
2 clous de girofle,
100 g de poudre de colombo,
1 Aubergine
1 kilo de Patates douces,
1 dl d'huile,
1/2 piment,
thym,
laurier,
sel,
poivre.
Couper la viande en dés de 2 cm de côté.
Placer ces morceaux dans un plat creux les assaisonner de sel, poivre, laurier, thym girofle, Ail et piment hachés.
Arroser la viande du jus des Citrons mélanger et laisser mariner au frais pendant 1 heure.
Dans une cocotte, verser la viande marinée, et lui laisser rendre son jus pendant 10 minutes, ajouter les Oignons hachés puis saupoudrer de colombo.
Mouiller avec la marinade passée au chinois et compléter par de l'eau froide jusqu'à recouvrir la viande.
Porter à ébullition et laisser mijoter à couvert 45 minutes.
Couper l'aubergine en rondelles.
Les faire sauter dans l'huile chaude, les assaisonner puis les ajouter au colombo 5 minutes avant la fin de la cuisson.
Pendant ce temps, éplucher les Patates douces, puis les cuire.
Lorsqu'elles sont cuites, les égoutter et les servir coupées en tranches en accompagnement du colombo.
Ne pas oublier de chanter ou de parler créole avec l'accent pendant la préparation sinon ce sera raté et il faudra tout recommencer de puis le début
Ps: merci pour la recette du riz japonais un de mes amis pensait qu'il fallait tuer un japonais et le couper pour l'incorporer dans le riz.
Vous lui éviter de tuer un japonais !
Déjà que ça fait sept fois qu'il se fait avoir en essayant diverses recettes exotiques le pauvre !
Et bien sur il ne fut pas tuer Peter Falk (l'inspecteur Colombo) pour l'incorporer dans le colombo cabri !
RépondreSupprimerCela va de soi !
"Etrange ! J'ai la nette impression qu'il y a anguille sous-roche...
RépondreSupprimerJe n'ose pas croire que vous vous abaisseriez à imiter l'écriture de Tinègre pour effacer les commentaires..."
J'ai tendance à avoir la même impression aussi...
Avez vous la recette du Rôt Marin ?
RépondreSupprimerRaphaël,
RépondreSupprimerCe blog devient de plus en plus imbuvable. Je suis probablement une de vos lectrice les plus assidue. Seulement il s'avère que vos lecteurs, les plus mal intentionnés, infectent ce blog avec des écrits sans queue d'écrevisse ni tête de sanglier.
Je vous serai gré d'effacer certains propos qui souillent cet espace. L'évacuation de cette pollution ne devrait pas être trop ardue. Il vous suffit de supprimer tous les propos, hormis ceux qui retracent le juste déroulement des recettes de cuisine...
Maïté,
RépondreSupprimerJe vais tout effacer, ce sera plus simple.
Cela fait bien longtemps que je n'ai plus le courage de lire toutes ces inepties. J'ai même failli effacer votre présent message (je reçois une copie de chaque message posté ici par mail) sans le lire, l'assimilant aux autres messages vides.
Malheureusement on ne pourra plus commenter ce texte, techniquement je ne peux rien faire d'autre.
Raphaël Zacharie de IZARRA
"Malheureusement on ne pourra plus commenter ce texte, techniquement je ne peux rien faire d'autre."
RépondreSupprimerQuel drame d'en arriver à cette extrémité ! On n'est plus chez nous dans nos demeures virtuelles. Les spameurs sont légion. Bientôt pour obtenir une recette de cuisine il nous faudra feuilleter des sites capitalistes. Une horreur !
En attendant vous pouvez peut-être éditer vôtre texte "A Ostende" sur les sites perso. Les livres d'or, pour la plupart, sont gracieux et aisés d'accès...
Il y a les forums aussi où vous pouvez éditer. A savoir que pour la plupart, ce sont des clubs réservés. Ils réclament la carte d'identité pour entrer dans leur espace sanctifié.
Les carnets de commentaires sont pas mal non plus pour éditer de courts textes: peu demandent de montrer patte blanche à l'entrée.
La liberté d'expression a sa déraison d'être sur le Net. Abusez-en...
"Avez vous la recette du Rôt Marin ?"
RépondreSupprimerMoi je recherche la recette des pets-de-nonne
Effacez moi tout ça palefrenier !
RépondreSupprimerEt sachez qu'avec vous les équidés seront sauf !
Avez vous vue la vidéo !
RépondreSupprimerIzarra fait du chabadabada chabadabada la la la chabadabada tout seul !
C'est magnifique !
Enfin je veut dire la musique et la petite scènette filmique, en fait tellement magnifique que cela pourrait bien être diffusé sur:
arte
gute nacht !
Ce que je ne comprend pas Raphael, c'est que vous n'êtes jamais passer sur arte dans un petit thema, kourt circuit ou encore dans tracks.
Bonne chance !